
Une ancienne employée de Facebook soutient que les dirigeants de Meta ont violé à plusieurs reprises la sécurité nationale des États-Unis. Elle affirme que Meta aurait partagé des informations sensibles dans le but de «construire une entreprise de 18 milliards de dollars en Chine».
Des technologies émergentes

Selon Sarah Wynn-Williams, ancienne employée de Facebook, des responsables de Meta auraient partagé des informations sensibles sur des technologies émergentes avec des officiels chinois.
Une menace

Elle considère que ces informations ont pu constituer une menace pour la sécurité nationale des États-Unis.
Au sein de l’entreprise

Williams a exposé ces accusations dans un livre récemment publié, où elle dénonce non seulement ces faits graves, mais dans lequel elle évoque également des comportements inappropriés et du harcèlement qu’elle affirme avoir subis au sein de l’entreprise dirigée par Mark Zuckerberg.
L’attention du Congrès

Ce sont toutefois les accusations formulées dans ses mémoires au sujet des informations potentiellement sensibles que Meta aurait partagées à plusieurs reprises avec la Chine qui ont retenu l’attention du Congrès, au point de mener à sa convocation comme témoin.
Des informations sensibles

D’après NBC News, qui aurait eu accès aux déclarations préparées de Sarah Wynn-Williams, celle-ci affirme que Meta aurait partagé des informations sensibles avec la Chine.
18 milliards de dollars

L’objectif aurait été, selon elle, de construire une entreprise de 18 milliards de dollars dans ce pays.
Le plus grand secret

Williams affirme que Meta aurait mené ses activités avec le Parti communiste chinois dans le plus grand secret.
La vérité

Elle soutient également que l’entreprise aurait menti à ce sujet, dissimulant la vérité aux employés, aux actionnaires, au Congrès et au public américain.
Dès 2015

Selon Williams, qui a travaillé chez Facebook de 2011 à 2017, l’entreprise aurait commencé à informer la Chine dès 2015.