Dès son premier jour

Lors de discussions privées, Trump exprimerait sa frustration et reconnaîtrait avoir sous-estimé la profondeur de l’animosité entre Poutine et Zelensky, ce qui, selon lui, expliquerait la lenteur des négociations. Alors que Trump avait promis de mettre fin à la guerre dès son premier jour à la présidence, les semaines se sont écoulées sans qu’aucune issue claire ne se dessine.
La frustration

Selon une source de CNN, la frustration commencerait à se faire sentir chez le président, qui admettrait désormais en privé qu’un accord de paix en Ukraine «a été plus difficile que prévu» à négocier.
Sous-estimé

Lors de discussions privées, Trump exprimerait sa frustration et reconnaîtrait avoir sous-estimé la profondeur de l’animosité entre Poutine et Zelensky, ce qui, selon lui, expliquerait la lenteur des négociations.
Aucune concession

Trump se montrerait étonné du refus de l’Ukraine face au plan de paix proposé par son administration, un plan qui ne prévoit aucune concession de la part de la Russie, tout en exigeant que Kyiv renonce aux territoires occupés ainsi qu’à son projet d’adhésion à l’OTAN.
«Vladimir, Stop!»

Pendant ce temps, les bombardements russes se poursuivent, dont une frappe récente sur Kyiv qui a poussé Trump à publier sur TruthSocial: «Très mauvais timing», avant d’ajouter: «Vladimir, Stop!».
La véritable concession

Récemment interrogé par un journaliste au sujet des concessions accordées par Poutine, laissant entendre que son plan favorisait la Russie, Trump a répondu que la véritable concession de Poutine était de «mettre fin à la guerre» et de ne pas s’emparer de l’Ukraine dans son intégralité.
La souveraineté de l'Ukraine

Rappelons que depuis le lancement des efforts de médiation par le président Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est montré disposé à envisager un accord de paix, à condition que la souveraineté de l’Ukraine soit respectée. Cependant, la Russie a répondu de manière évasive, rejetant plusieurs propositions américaines et continuant ses attaques, notamment sur Kyiv, ce qui complique les négociations.