
Nombreux sont ceux qui ont vivement réagi à l’annonce de Trump d’accepter le cadeau qatari.
Un luxueux Boeing 747-8

Le président des États-Unis se retrouve une fois de plus au cœur de la controverse, alors qu’il s’apprêterait à accepter en cadeau un luxueux Boeing 747-8 offert par la famille royale du Qatar.
Air Force One

Un geste sans précédent dans l’histoire présidentielle, que beaucoup considèrent déjà comme une manœuvre de corruption flagrante. L’administration Trump aurait déjà exprimé son intention d’utiliser l’avion comme remplaçant d’Air Force One, avant de le céder à sa future bibliothèque présidentielle.
Sans l’approbation préalable

De leur côté, les démocrates critiquent le fait que Trump ait annoncé vouloir accepter ce cadeau sans l’approbation préalable du Congrès, comme l’exige la loi.
Manifestement inconstitutionnelle

Nombreux sont ceux qui ont vivement réagi à l’annonce de Trump d’accepter le cadeau qatari. Bernie Sanders a dénoncé une décision «absurdement corrompue» et «manifestement inconstitutionnelle», tandis que Chuck Schumer a fustigé un geste contraire à l’esprit américain, ironisant: «Rien ne dit America First comme un Air Force One sponsorisé par le Qatar».
De sérieuses préoccupations

L’acceptation d’un cadeau d’une telle valeur par un président en exercice, provenant directement d’un gouvernement étranger, soulève de sérieuses préoccupations de corruption potentielle, en particulier si elle intervient sans l’approbation préalable du Congrès.
Certains alliés très controversés

Le simple risque d’influence indue suffit à justifier l’alerte, d’autant que même certains alliés très controversés de Trump s’en inquiètent. C’est le cas de Laura Loomer, qui a déclaré sur X que cette décision «entacherait lourdement l’administration si elle s’avère réelle».
Son premier voyage officiel

Rappelons que Trump entamera cette semaine son premier voyage officiel à l’étranger, en dehors des funérailles du pape François, avec des arrêts prévus en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis et… au Qatar.