
Politico révèle que Mike Waltz aurait utilisé cette application commerciale à au moins 20 reprises et aurait également utilisé Gmail pour envoyer des informations relatives à ses affaires gouvernementales.
Pas la seule fois

Selon des sources rapportées par Politico et le Washington Post, le «Signalgate» ne serait pas la seule fois où Mike Waltz, conseiller à la sécurité nationale, aurait utilisé Signal pour des discussions liées à la sécurité nationale.
20 reprises

Politico révèle qu’il aurait utilisé cette application commerciale à au moins 20 reprises.
Gmail

De plus, le Washington Post affirme que Waltz aurait également utilisé Gmail pour envoyer des informations relatives à ses affaires gouvernementales.
Des hauts responsables

Le manquement aux mesures de protection concernant l’utilisation de méthodes de communication peu sécurisées par des hauts responsables gouvernementaux sous l’administration Trump semble être plus généralisé que ce qui avait été initialement révélé par The Atlantic.
Par erreur

En effet, l’un de leurs journalistes s’est retrouvé par erreur dans un groupe de discussion, invité par Waltz, où plusieurs membres importants de l’administration Trump, dont le vice-président JD Vance, étaient présents.
Des détails classifiés

Dans cette conversation, des détails classifiés concernant une attaque militaire contre les Houthi au Yémen par le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, ont été divulgués, incluant le plan d’attaque ainsi que les avions et missiles utilisés.
20 groupes de discussion

Selon les sources de Politico, Waltz aurait aussi créé au moins 20 groupes de discussion sur Signal pour discuter de divers sujets, et des «informations sensibles» auraient été échangées.
De politique internationale

Parmi ces sujets, abordant diverses questions de politique internationale, figurent notamment l’Ukraine, la Chine, Gaza et l’Europe.
D'autres documents de travail

Le Washington Post affirme également que le conseiller à la sécurité nationale et certains membres de son équipe auraient partagé des informations liées à leur travail via leurs comptes Gmail personnels, y compris son emploi du temps et d’autres documents de travail.
Les différents membres

En réponse au scandale du SignalGate, les différents membres de l’administration Trump ont soit nié, minimisé, soit rejeté toutes les accusations de manquements.
Aucune enquête

L’administration Trump a même affirmé que le dossier était clos et qu’aucune enquête n’était nécessaire. Voilà qui pourrait la faire changer d’avis, toutefois…