
Le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, déjà au cœur d’une controverse pour avoir divulgué des informations sensibles et classifiées sur une attaque militaire imminente au Yémen dans un groupe Signal réunissant plusieurs membres de l’administration Trump, dont le vice-président JD Vance, ainsi qu’un journaliste de The Atlantic ajouté par erreur, fait à nouveau scandale.
At the annual White House Easter Egg Roll on Monday, Defense Secretary Pete Hegseth lashed out at reporters over coverage of him sharing war plans in a second Signal chat that included members of his family and his personal lawyer. Read more: nyti.ms/3GiswuB
— The New York Times (@nytimes.com) 2025-04-22T10:49:03.116Z
De nouvelles révélations du New York Times indiquent qu’il aurait partagé les mêmes informations dans un second groupe Signal, cette fois composé de son épouse, de membres de sa famille, de son avocat et de ses assistants personnels.

Ces messages, que Pete Hegseth aurait d’abord reçus du général Michael Erik Kurilla, commandant du U.S. Central Command, par l’intermédiaire d’un système sécurisé du gouvernement américain, contenaient des informations précises sur les frappes menées en mars contre les rebelles houthis, au Yémen.
Selon NBC News, le secrétaire à la Défense aurait finalement transmis ces informations depuis son téléphone personnel à deux groupes de discussion sur Signal, et non un seul comme initialement rapporté, et ce malgré l’avertissement clair d’un de ses assistants qui lui avait déconseillé de partager des données classifiées via un système de communication non sécurisé.

L’ancien animateur de Fox & Friends Weekend a nié avoir partagé des informations classifiées dans ces groupes de discussion, tout en reconnaissant l’existence d’un second groupe Signal.
Il a rejeté les accusations au départs, affirmant que les médias relayent de vieilles informations fournies, selon lui, par d’anciens employés mécontents.

Hegseth, avec le soutien de Donald Trump, continue pour l’instant de résister à la controverse, malgré les appels à sa démission.
Parmi eux, le représentant républicain Don Bacon, qui a qualifié l’existence de ce second groupe Signal de «totalement inacceptable».
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