
La promesse de réduction des coûts a été réduite de moitié une première fois, puis une seconde fois, au point qu’il ne reste plus que 150 milliards d’économies sur la table dans un contexte où le budget fédéral approche les 7 000 milliards de dollars.
Une fois de plus

Celui qui déclarait récemment au CPAC: «Je vis juste le mème», Elon Musk, ridiculise une fois de plus les résultats qu’il promet depuis des mois via DOGE… cette fois un peu malgré lui, on imagine.
De façon significative

Il admet en effet avoir encore réduit de façon significative les économies qu’il promettait aux Américains en marge de l’élection de Donald Trump.
Des coupes brutales

Cela, malgré des coupes brutales et sans égard pour grand chose dans l’appareil gouvernemental… et après une première révision à la baisse de moitié déjà annoncée quelques semaines plus tôt.
2 000 milliards de dollars

À l’origine, il promettait rien de moins que 2 000 milliards de dollars d’économies grâce aux coupes de DOGE aux Américains.
150 milliards seulement maintenant!

Cette promesse a été réduite de moitié une première fois, puis une seconde fois, au point qu’il ne reste plus que 150 milliards d’économies sur la table dans un contexte où le budget fédéral approche les 7 000 milliards de dollars aux États-Unis.
Des chiffres gonflés et des approximations?

Selon le New York Times, à peine 15% des économies annoncées par Musk seraient réellement réalisables. Le reste reposerait sur des chiffres gonflés et des approximations: toujours selon le journal, Musk inclurait des montants exagérés, prévoirait des dépenses futures incertaines et comptabiliserait des fonds qui ne seraient engagés que lors du prochain exercice budgétaire.
Un sérieux manque de rigueur...

Rappelons que plusieurs des économies avancées par DOGE se sont avérées fausses ou fortement exagérées. Certaines «fraudes découvertes» l’avaient déjà été sous l’administration précédente, et des erreurs flagrantes ont été relevées, comme un contrat de 8 millions présenté à tort comme une économie de… 8 milliards. Plusieurs experts pointent un sérieux manque de rigueur et de transparence.