Ce palace à deux étages est épuré, il frôle le minimalisme d'une grande villa coloniale espagnole et il a été rénové tout récemment. Le terrain est vaste et sur celui-ci, on retrouve un «court» de tennis, une piscine creusée et une terrasse digne de celle d'un bar pendant la saison estivale. Le prix demandé est de... 22 888 000 de dollars!
Le palace est situé sur un chemin privé
Credit: Anthony Barcelo
Cette vaste demeure contemporaine comprend huit chambres et neuf salles de bains.
Le hall d'entrée du château
Credit: Anthony Barcelo
Cette structure de deux étages vient d'être rénovée et elle est remplie d'une tonne de meubles génériques.
La salle de séjour
Credit: Anthony Barcelo
Cette pièce est située devant une grande fenêtre qui offre la piscine creusée comme vue panoramique.
La salle de lecture
Credit: Anthony Barcelo
La bibliothèque a vraiment des allures de ce qu'on retrouve dans les écoles, en plus élégant.
La cuisine
Credit: Anthony Barcelo
Cette cuisine aérée offre un grand îlot et une excellente luminosité naturelle.
L'endroit pour le déjeuner
Credit: Anthony Barcelo
Ce petit espace annexé à la cuisine est parfait pour prendre le petit déjeuner.
La salle à manger
Credit: Anthony Barcelo
Cette pièce chaleureuse dispose d'un grand espace pour accueillir beaucoup de personnes.
Le cinéma
Credit: Anthony Barcelo
Avec ce rideau rouge, cette salle propose une ambiance zen pour s'évader dans un film ou des reprises de Desperate Housewives!
Le solarium
Credit: Anthony Barcelo
Un grand sofa, un petit bar, une vue incroyable, quoi de mieux pour se détendre?
La piscine creusée
Credit: Anthony Barcelo
Imaginez-vous dans cette piscine à contempler les palmiers, les montagnes et le grand ciel bleu!
Le court de tennis
Credit: Anthony Barcelo
Tout est bâti pour des joueurs qui prennent plus ça au sérieux que des amateurs. On dirait quasiment un terrain professionnel.
La terrasse
Credit: Anthony Barcelo
Tout comme un bar de Saint-Sauveur pendant la saison estivale, cette terrasse est très séduisante.
La vue d'ensemble
Credit: Anthony Barcelo
Ne voilà pas l'image d'un château digne des contes de Walt Disney?