Musk et SpaceX auraient violé des règles de sécurité nationale
Stephanie GauthierBien qu’Elon Musk et son équipe chez SpaceX soient soumis à un protocole strict de «vérification continue», Musk n’a pas respecté ces obligations de déclaration depuis 2021.
Trois enquêtes
Selon le New York Times, des agences fédérales ont lancé au moins trois enquêtes pour déterminer si SpaceX et Elon Musk ont respecté les protocoles de déclaration visant à protéger les secrets d’État.
Les rencontres
Ces enquêtes mettent en cause des omissions concernant les rencontres d’Elon Musk avec des dirigeants étrangers ainsi que les raisons de ces entretiens.
Des enquêtes distinctes
Cette année, le Bureau de l’Inspecteur général du Département de la Défense, l’armée de l’air américaine et le Bureau du Sous-Secrétaire à la Défense pour le renseignement et la sécurité ont chacun lancé des enquêtes distinctes concernant le propriétaire de SpaceX.
Refusé
Selon le New York Times, l’armée de l’air américaine a aussi récemment refusé à Elon Musk l’accès à un niveau élevé de sécurité.
Des risques potentiels
Ces inquiétudes repose sur des risques potentiels en matière de sécurité, une préoccupation partagée par plusieurs nations alliées qui craignent la divulgation d’informations sensibles à des tiers.
Des informations détaillées
Pour obtenir une habilitation de sécurité de haut niveau, Elon Musk est tenu de fournir au Département de la Défense des informations détaillées sur sa vie privée.
Ses voyages à l'étranger
Cela inclut l’itinéraire complet de ses voyages à l’étranger ainsi que les détails de ses rencontres avec des dirigeants étrangers.
Son équipe
Elon Musk et son équipe chez SpaceX sont soumis à un protocole strict connu sous le nom de «vérification continue».
Surveiller et évaluer
Ce dispositif vise à surveiller et évaluer en permanence les individus ayant accès à des informations sensibles.
Les exigences
Depuis 2021, Elon Musk n’aurait pas respecté les exigences de déclaration requises pour ces habilitations de sécurité.
Son usage
Il aurait également refusé de fournir des informations sur son usage de médicaments, pourtant obligatoires dans ce cadre.